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Danse
Résidence
Durée : 50mn
« « NAQS » veut dire « ce qui manque » en arabe. Les mots d’une langue maternelle qui manquent à notre langage, à notre voix, à notre corps, qui d’une absence de maitrise fabrique quelque chose d’intime qui nous appartient. Outil de création, qui nous constitue et qui nous lie aux autres d’une manière particulière et riche. Nait alors une recherche d'un nouveau language, le notre seul qui se meut dans l’histoire des autres. Nous voulons sonder les effets émotionnels, corporels, mémoriels de ces langages aux « cultures-langues » tronquées, aux « cultures-langues » enrichies. Qu'est ce que le corps retient de ces vides de transmission? Comment la voix a reçu, formé, déformé cette langue? » Comment le corps et la voix jouissent, se déposent, s'expriment par ce manque? »
« Chacun.e nourrit l’envie de rencontrer le médium de l’autre par le biais d’explorations chant/corps dans l’improvisation en expérimentant les matières. Nous garderons comme contrainte uniquement le corps et la voix. Sans raconter l’histoire d’une culture, ni de deux personnes, nous nous laissons infuser par une mémoire personnelle et collective. »
« Alima chante au sein du groupe Monkomarok (World – Jazz) pendant 8 ans, de 2000 à 2008. 3 albums en sont issus (Enja / Harmonia Mundi). De très nombreux concerts en France et à l’étranger via Culture France (L’AFAA) notamment. A partir de 2013, Alima continue d’écrire son aventure. Tout d’abord en Duo ALIMA & LONE KENT (folk Blues) Preselection Bourges 2011. Puis en trio en 2015 Trio ALIMA Avec Loïc Schild à la batterie, Fabrice Dang à la guitare, basse et banjo et Alima au chant, textes et composition. La musique se fait la deuxième peau de ses textes : beaux, charnels et sans concession. En janvier 2016, ses poésies sont publiées aux Etats Unis par la revue trimestrielle TRAFIKA EUROPE (voir ACTU) aux cotés de 6 auteurs dont Tahar ben Jelloun et Faiza Guene ce qui l’amène à New York et en Pennesylvanie en avril 2016 pour présenter ses poésies et chansons. Elle cree en 2016 le Duo MEDEA MOUNTAINS avec Fabrice Dang à la guitare (voir PROJET) improvisation onirique en langue algérienne. Par ailleurs, elle intervient en action culturelle comme animatrice d’Atelier d’Ecriture en lycée, prison, college…..(voir dossier dans PROJET) Enfin, elle est programmatrice musicale entre 2013 et 2017 au centre culturel Lalande, elle programme dans le cadre des festivals Détours de Chant, Guitare Aucamville, Jazz sur son 31, Barrio Loco… En 2018, le duo Musicale Medea Mountains devient une pièce de théatre, un seule en scène, mis en scène et scénographié par Aurelien Bory, CIE 111. Ce projet sera accompagné et porté par la CIE 111. En 2019, elle cree le duo BYTHESKET avec Vincent Ferrand à la contrebasse et elle même à la voix et aux textes. Le projet sera porté et soutenu en 2021 par le réseau OCCiJAZZ. »
« Elle se forme à Toulouse et suit plusieurs enseignements notamment auprès de Christophe Legoff, Mark Thompkins, Jackie Taffanel, Bruno Danjoux. Après sa formation elle développe une pratique régulière d’improvisation et de composition spontanée, qui l’amène à créer ses deux premières performances, « O » avec le soutien de l’isdaT (institut supérieur des arts de Toulouse) et du centre culturel Alban Minville et « The flow out », de la découlera une envie forte de développer une écriture chorégraphique propre. En 2017 en écho avec ses préoccupations autour de l’image du mouvement, le projet « La Ramée » et le concept de « cinéma vivant » (qui mêle danse et cinéma), voit le jour. Elle a ensuite développé un regard extérieur, notamment pour Let’s folk de Marion Muzac. En 2019/2020 elle commence les explorations pour le solo « Echine » et elle suit l’Incubateur de chorégraphes de la Fabrique de la danse. Depuis 2020 elle commence le parcours Recherche en danse à Paris 8 ou elle développe une recherche autour des matières de corps. En Octobre 2022 elle suit le Laboratoire chorégraphique #3 à L’Abbaye de Royaumont notamment avec Volmir Cordeiro, Hervé Robbe, Alban Richard, Emilie Peluchone et Roberto Fratini Serafide. En 2023 elle co créer le Festival VU.E.S de Mars destiné à favoriser la visibilité des chorégraphes émergent·e·s en Occitanie face à un constat de manque de place et de moyens pour la diffusion de l’art chorégraphique. L’idée est d’inventer avec les structures et les artistes de nouveaux moyens de s’organiser pour résister face aux baisses des enveloppes destinées à la culture en France. Cette année elle suit la formation pour chorégraphes Edition speciale #8 du CND toujours dans un but d’élargir ses connaissances sur l’écriture et la dramaturgie. »
« La compagnie du Scarabée est une compagnie de spectacle vivant fondée en 2011 avec Jehane Hamm et Meritxell Martin Calvo danseuse et chorégraphe qui fondera sa propre structure Compagnie Au pied levé en 2019. Entre 2011 et 2015 Jehane Hamm explore plusieurs cycles de recherche, notamment autour de la performance, de la chute et de l’eau (fascias, liquides). Elle crée un triptyque « The flow out » , fait de deux vidéos ou elle développe une danse liquide dans un parking et dans une rivière, endroits « décalés » et non dédiés à la danse, qui donneront naissance à une performance sur l’accumulation de gestes, de chutes et d’eau coulant en direct et collecté dans un bassin dans lequel elle évolue. En 2017 Léa Sallustro rejoint l’équipe de la compagnie pour le projet « La Ramée » mêlant vidéo et danse. Il s’agit d’explorer de nouvelles formes d’hybridations entre la danse contemporaine et le cinéma et d’en élargir les possibilités de rencontres. Pour étoffer cette pensée pluridisciplinaire elles invitent Erik Bullot, cinéaste, écrivain et conférencier à intervenir sous la forme d’une conférence/débat autour de la notion de « cinéma vivant » le projet reçoit une première subvention de la Spedidam et une coproduction du Théâtre Jules Julien à Toulouse. Le projet ira jusqu’au Off du Festival d’Avignon en 2018 à la Scierie. En réaction à cette recherche de la place du corps face à la puissance séduisante de l’image, le projet solo « Echine » voit le jour. Projet autour de la mobilité de la colonne vertébrale et de la musicalité du mouvement comme moteurs d’imaginaires multiples. Le projet s’attache à jouer avec les frontières de l’apparition d’une forme humaine en constante transformation et rend hommage au Faune de Nijinsky. En mai 2022 a lieu la première du spectacle à Avignon au Théâtre de l’Oulle – La Factory. Ce projet reçoit le soutient de la DRAC Occitanie, du Département Haute Garonne, de la ville de Toulouse et un apport en coproduction de La Fabrique de la danse. Aujourd’hui la compagnie porte ce projet collaboratif avec Alima Hamel et Jehane Hamm pour le projet « NAQS ». »
CHANTEUSE ET POÉTESSE : Alima Hamel
CHORÉGRAPHE ET DANSEUSE : Hamm Jehane
RÉGISSEUR SON : Maury Adrien
CRÉATRICE LUMIÈRE : China Carole
PRODUCTION : Compagnie du Scarabée – GPS
COPRODUCTIONS : L’Estive Scène nationale de Foix, Projet lauréat du collectif En Jeux
ACCUEIL STUDIO : CDCN – La place de la danse-Toulouse, L’Escale-Tournefeuille, Le Carreau du temple- Paris, Théâtre Molière-Sète, l’Estive Scène nationale-Foix, L’Etoile du Nord-Paris, Théâtre Le Ring-Toulouse »